Selon Claire Bardainne et Adrien Mondot, « dans la langue japonaise, Hakanaï définit ce qui est impermanent, fragile, évanescent, transitoire, entre le rêve et la réalité. Mot très ancien, il évoque une matière insaisissable associée à la condition humaine et à sa précarité, mais associée aussi à la nature. Il s’écrit en conjuguant deux éléments, celui qui désigne l’homme et celui qui désigne le songe. Ce collage symbolique est le point de départ de cette partition pour une danseuse rencontrant des images, faisant naître un espace situé à la frange de l’imaginaire et du réel. »
Les images sont animées en direct, selon des modèles physiques de mouvement, au rythme d’une création sonore également interprétée en direct. Le spectacle est quadri-frontal, et à l’issue du temps de performance, l’installation est ouverte aux spectateurs.
Rendez-vous les 7 et 8 décembre 2018, au Centro Cultural de Belém, pour une expérience 100% immersive !